Le nom de Grand comptoir de la carte postale est toujours associé à celui de l’éditeur et imprimeur parisien Ernest Le Deley, connu sous les initiales « E.L.D. ». Pourtant, derrière ce nom se cache également de nombreux éditeurs locaux qui avaient leurs propres signatures et qui étaient dépositaires de stocks importants de cartes-postales illustrées.
Chmura Sophie, « Le Grand comptoir de la carte-postale à Rennes », cartes-postales de Rennes ou d'ailleurs, mis en ligne le 1er octobre 2020. http://cartes-postales35.monsite-orange.fr, consulté le
Cet article contient des images issues des collections du Musée de Bretagne à Rennes (Marque du domaine public)
Ernest Louis Désiré Le Deley, fils d’Ernest Louis Désiré Le Deley (Rouen, 13 avril 1824- après 1895), cordonnier, et Victoire Sophie Flambart (Mont Saint-Aignan, 25 août 1822– Paris, 4 novembre 1875), est né à Mont Saint-Aignan le 12 juillet 1859. En 1887, il est phototypeur 7 rue Crespin à Paris. En 1889, année où il reprend la Maison Quinsac et Baquié[1] spécialisée dans la photocollographie, il expose dans la galerie des machines pour présenter les impressions à l’encre grasse[2]. Il montre des phototypies, des photochromies, ainsi que des épreuves et planches impressionnées[3]. Au début des années 1890, Le Deley travaille comme imprimeur chez le phototypeur Alexandre Edmond Laussedat (Clermond-Ferrant, 26 février 1851-1934) à la Boissière à Châteaudun. Quand il se marie le 15 octobre 1898 à Bugnicourt avec sa compagne Joséphine Petit (Bugnicourt, 9 novembre 1865- Paris, 11 mars 1928), fille de Louis Petit (Bugnicourt, 3 avril 1828 – 14 novembre 1907), cultivateur et de Joséphine Duflot (Bugnicourt, 31 octobre 1834 – 3 novembre 1912), il est déclaré comme imprimeur-photographe. Il est toujours domicilié à Châteaudun. En février 1899, il reprend la Maison d’Henri Racle, imprimeur-phototypeur[4], professeur de photographie qui possédait un laboratoire 35 rue Jouvenet à Paris-Auteuil[5]. D’après le journal Le Panthéon de l’industrie de 1888, « dans ce laboratoire […] l’outillage photographique, au grand complet et conforme à tous les perfectionnements réalisés dans ces derniers temps, permet d’exécuter tous les genres de photographie connus jusqu’à ce jour, et, pour l’enseignement, de faire des cours aussi complets qu’on peut le désirer, d’autant plus que le professeur a acquis dans tous les genres une expérience pratique consommée »[6]. Racle photographiait des paysages, des reproductions de musées et des portraits. Outres des vues de Paris et de France, il avait pour sujet de prédilection Rome, la Suisse et les musées allemands. Sa collection complète comprenait environ 800 sujets.
Le 28 août 1902, Le Deley dépose un brevet pour un appareil stéréoscopique[7] qu’il va vendre comme un stéré-mobile qu’il appelle Le Merveilleux. Il met en vente près de 2000 sujets « instructifs, vues du monde entier, Scènes ; Animées, Militaire, Sportives, Enfantines, etc., par série de 12 cartes différentes »[8]. Ses publicités et ses cartes spécimens déclarent que « les Cartes Postales VUES, c’est-à-dire celles nous rappelant les Monuments, les Villes et les Sites traversés par nous, répondent à un besoin : celui de conserver le souvenir du pays parcouru, en faisant partager nos impressions de voyage à ceux que nous avons laissés loin de nous. Pour être parfait, il ne lui manquera qu’un attrait : la Vie… "Le stéréoscope" nous la donnera, les personnages et les objets se détacheront nettement, nous donnant l’illusion de la réalité. " LE MERVEILLEUX" est le plus joli cadeau que l’on puisse faire : et, sa collection de sujets, tous traités spécialement au point de vue instructif, est un passe-temps des plus agréables pour tous, jeunes et vieux. Tous les appareils créés jusqu’à ce jour avaient l’inconvénient d’être encombrants, d’un prix trop élevé ou peu pratiques et laids. "LE MERVEILLEUX", au contraire, possède et réunit tous les avantages : léger, commode, simple, peu volumineux, très bon marché, donnant un relief inconnu jusqu’à ce jour. Il est donc appelé à figurer, aussi bien sur un meuble du plus luxueux salon, que dans la corbeille de jouets de nos chers bambins »[9]. Pour assurer à son stéréoscope le succès, La maison Le Deley faisait paraître plusieurs fois par mois un certain nombre de pochettes comprenant des vues des « principaux Monuments avec scènes animées, les types de la rue, les mœurs et costumes régionaux »[10], ce qui était résumé comme étant un voyage à travers la France pittoresque et monumentale. Les toutes premières cartes postales stéréoscopiques confectionnées pour Le Merveilleux, sont imprimées sous la marque « Héliotypie E. Le Deley, Paris ».
Bulletin de la Société photographique du Nord, décembre 1904.
En novembre 1905, la société Charles Lhôpital et Cie cède le fonds de commerce de cartes postales 127 boulevard Sébastopol à Le Deley[12]. Jusqu’en juillet 1902, l’adresse du 127 boulevard Sébastopol avait été celle de la société Duval (J.) & Cie, qui vendait des cartes postales et des albums illustrés. Le logo stylisé « E.L.D. » apparait fin 1905.
Revue Photographique de l'Ouest, 1908.
Le Deley fait installer en 1908 à Saint-Malo, 2 rue Toullier, une succursale de son « Grand comptoir de la carte-postale » situé 127 boulevard Sébastopol et 1 rue de Tracy à Paris[13].
Il avait déjà plusieurs boutiques, par exemple rue Grande à Fontainebleau, rue de Paris au Havre, rue Saint-Nicolas à Rouen ou rue Paganini à Nice.
Ernest Le Deley meurt à Paris le 6 août 1917. Son fils, Maurice Ernest Le Deley (Paris, 27 avril 1885 – Saint-Cyr, 15 avril 1874), préparateur photographe, prend sa succession, mais il rentre seulement en avril 1919 de la guerre. La maison Le Deley, déjà en difficulté avant le décès de son père, fait faillite en mai 1922[14].
La boutique de Saint-Malo proposait des vues de Bretagne, un grand choix de bromures, simili-bromures, chromos et fantaisies de toutes sortes. Même si la maison Le Deley imprime ses propres cartes-postales, ses boutiques sont aussi dépositaires d’un nombre important de collections d’autres éditeurs. En octobre 1910, une nouvelle boutique est ouverte 26 rue Poullain-Duparc à Rennes. Elle était gérée par Georgette Désirée Petit (Etréchy, 22 mai 1886 – Clichy, 22 juillet 1965), employée de la maison Le Deley[15]. Elle vendait des cartes vues de Rennes et de la Bretagne, ainsi qu’un grand choix de cartes fantaisies[16]. En janvier 1911 le magasin de cartes-postales Le Deley de Saint-Malo subit un début d’incendie[17] et en septembre 1912 apparaissent dans la presse locale les dernières mentions de celui de la rue Poullain-Duparc à Rennes.
Une carte-postale publiée sous les marques « ND Phot » et « J. Sorel, édit. Rennes », dont on trouve des exemplaires circulés en 1910, montre qu’il existait également un Grand Comptoir de la carte-postale 17 rue de la Monnaie à Rennes.
Collections du Musée de Bretagne, numéro d'inventaire : 2004.0027.1, permalien de la notice : http://www.collections.musee-bretagne.fr/ark:/83011/FLMjo221161
En août 1918, une publicité décrit le Grand comptoir de la carte-postale de Rennes comme une maison de gros en articles de bureaux de tabac[22]. Les cartes-postales qui y étaient achetées porte le nom de l’éditeur A. Pacory.
Arthur Jean Pacory, fils de Jean Baptiste François Pacory (Couesmes-Vaucé, 20 mars 1831 – Fougères, 23 mars 1898), cabaretier, et de Julie Françoise Buffet (Saint-Pierre-des-Landes, 14 décembre 1830 – Fougères, 11 janvier 1905), est né les 30 mars 1867 à Ernée en Mayenne. Il débute professionnellement comme cordonnier comme ses frères Eugène Joseph Marie Pacory (Ernée, 12 mars 1860 - ?) et Édouard Jules Pacory (Ernée, 22 août 1863 - ?). Il se marie à Fougères le 23 avril 1888 avec Joséphine Thérèse Esnault (Fougères, 18 décembre 1868 – 16 novembre 1946). En 1895, son frère Eugène reprend une des plus importantes manufactures de chaussures de la ville de Fougères. En 1908, Arthur Pacory est toujours domicilié à Fougères, mais possède des propriétés à Romagné, Billé et Saint-Sauveur[23]. Réformé militaire, il n’est pas mobilisé en 1914. Fin 1918, il décède 17 rue de la Monnaie à Rennes.
Le 21 janvier 1919, Joséphine Esnault, qui exploitait jusqu’alors la boutique, vend le fonds de commerce « en gros et détail de cartes postales, maroquinerie, article de fumeurs, parfumerie et papeterie »[24] à Jean Sorel et son épouse Joséphine Gauthier/Gautier. Au moment de la vente, le magasin porte toujours le nom de Grand Comptoir de la carte postale.
Jean Marie Joseph Sorel, fils de Julien François Sorel (La Chapelle-des-Fougerets, 25 novembre 1840 – 8 août 1906), cultivateur, et Anne Marie Jeanne Besnard (Melesse, 27 janvier 1838 – La Chapelle-Chaussée, 28 mars 1910), est né à La Chapelle-des-Fougerets le 26 mars 1880. Boulanger, il habite Romillé en 1900. Il est mobilisé pour les campagnes d’Algérie et des régions sahariennes du 22 novembre 1902 à octobre 1904. Le 26 juillet 1906, il se marie à La Chapelle-Chaussée avec Joséphine Amélie Françoise Gauthier (La Boussac, 30 juillet 1881 – La Chapelle-sur-Erdre, 16 novembre 1943). Dans l’acte de mariage, il est précisé qu’il exerce toujours le métier de boulanger et habite rue Nantaise à Rennes. Joséphine Gauthier est alors commerçante à La Chapelle-Chaussée. Le couple s’installe 3 quai Lamennais à Rennes. Le 27 avril 1909, ils vendent leur boulangerie[25]. Sorel devient négociant. Il vend des cartes-postales en gros et à l’unité, sous son nom « J. Sorel, édit., Rennes ». Sa collection est constituée de clichés édités par d’autre éditeurs. Beaucoup de cartes-postales J. Sorel sont en fait des cartes des collections « L.L. » (Lévy fils et Cie) et « ND Phot. » (Neurdein). En 1910, ils se déplacent plusieurs fois : en janvier, ils résident au Mans 39 rue Marengo, en avril, rue Robert Surcouf à Saint-Servan et en octobre, 36 rue de Paris à Rennes. Malgré sa cardiopathie rhumatismale, Jean Sorel participe à la campagne contre l’Allemagne d’août à octobre 1914. Il est rappelé en août 1915, mais il est réformé pour bronchite suspecte. Il habite alors 40 route de Lorient à Rennes.
Le 21 novembre 1921, le Tribunal de Saint-Malo prononce le divorce de Jean Sorel et Joséphine Gaultier. D’après le recensement de population de 1921, le magasin 17 rue de la Monnaie est tenu par Mathurin Leroy/Le Roy. Comme Pacory et Sorel avant lui, il vend des cartes postales sous son nom « M. Le Roy, édit. – Rennes ».
Mathurin Joseph Leroy, fils de Mathurin Le Roy (Meslan, 5 janvier 1869- ?) et Marie Josèphe Guégan (Berné, 17 janvier 1866- ?), tous deux commerçants, est né à Meslan le 30 juin 1894. En 1914, il est domicilié à Angers où il travaille comme chef de bureau. Il est incorporé en septembre 1914 au 64e Régiment d’Infanterie. Il passe au 13e Régiment d’Artillerie en juillet 1915. En 1918, il est affecté au 15e escadron du train dans l’Armée d’Orient. Il rentre à Meslan en septembre 1919. Le 30 août 1924, il se marie à Nantes avec l’ex-femme de Jean Sorel, Joséphine Gaultier. Ils divorcent le 27 février 1929. Il quitte Nantes pour Levallois Perret où il se marie avec Marie Nathalie Ollivier (La Boussac, 10 juillet 1907 - Saint-Denis, 29 octobre 1988) le 1er août 1931. Il décède à Saint-Malo le 6 décembre 1980.
En novembre 1921, le Grand comptoir de la carte-postale change de nouveau de propriétaires. Les cartes-postales sont désormais vendues aux noms de « Garnier et Coconnier, édit. - Rennes ».
Henry Léon François Garnier, fils d’Henry Marie Benjamin François Garnier (Billé, 26 mai 1863 – Fougères, 9 juin 1944), forgeron et de Marie Louise Bourgeois (Laignelet, 24 août 1862 - ?), tailleuse puis débitante de boissons, est né à Fougères le 8 septembre 1887. En 1907, il est voyageur de commerce. Il se marie à Fougères le 17 octobre 1910 avec Henriette Aline Lecomte (Fougères, 26 août 1898 – 18 avril 1935), couturière, fille d’Alcide Marie Edmond Lecomte (Le Mans, 5 septembre 1865 – Fougères, 28 septembre 1899), employé au chemin de fer de l’Ouest puis comptable, et de Marie Jeanne Marion (Fougères, 23 mars 1863 - ?). Il fait campagne contre l’Allemagne de février 1915 à novembre 1918.
Henry Garnier s’associe à son beau-frère François Coconnier. Fin 1921, ils gèrent le fonds de commerce de Grand comptoir, où ils vendent« Objets de piété, jouets, maroquinerie, papeterie et articles de fumeurs en gros ».
François Alexandre Victor Coconnier, fils de François Célestin Coconnier (Louvigné-de-Bais, 26 avril 1860 – Fougères, 7 mars 1908), employé des chemins de fer, et Françoise Joséphine Drouyer (Marpiré, 12 janvier 1861 – après 1919), chaussonnière, est né à Fougères le 19 août 1896. Il est employé de commerce en 1916 quand il est incorporé au 2e Régiment d’artillerie coloniale. Il est réformé en septembre 1917 pour pleurite et arythmie cardiaque. Il se marie à Fougères le 7 juillet 1919 avec Georgette Lecomte (Fougères, 8 avril 1893 - ?), employée de commerce, sœur de l’épouse d’Henry Garnier.
Une bonne partie des cartes-postales vendues par Garnier et Coconnier provenaient de la rétrocession du stock des services de papeterie de l’Ouest-Eclair, connus sous le nom de Comptoir Breton de Papeterie. Ce stock de cartes postales reproduisant des types et des paysages de Bretagne issues de collections de différents éditeurs et toutes marquées au dos « Coll. Ouest-Eclair », avait été constitué en 1918 par André Saucourt-Harmel (8 décembre 1878- Rennes, 23 décembre 1941). Parallèlement à la boutique du 17 rue de la Monnaie, Garnier et Coconnier ouvrent le Grand comptoir de Bimbeloterie 8 rue Jean Jaurès à Rennes. Après 1930, le Grand Comptoir de la carte-postale ferme. Le 29 octobre 1935, le Tribunal de Commerce de Rennes déclare Garnier et Coconnier en liquidation judiciaire. La Société de fait « Garnier et Coconnier, bimbeloterie, et article de bazar, 8 rue Jean-Jaurès » est liquidé le 11 avril 1936[26]. Son « important stock de bimbeloterie, de jouets, Christs, Chapelets, objets de piété, cartes postales, articles de bazar, objets divers, malles de voyageurs » est vendu les 12 et 13 décembre 1939[27]. François Coconnier, devenu inspecteur divisionnaire de la Compagnie « La Populaire » meurt à Paris le 17 juillet 1941, mais est enterré à Rennes. Henri Garnier décède à Paris le 23 mai 1966, il était alors domicilié 1 place Saint-Germain à Rennes.
[1] Annulation de la société André Quinsac et Georges Baquié août 1889, in Le Radical, 29 août 1889. André Quinsac (1845-1891) avait mis au point en 1881 à Toulouse les impressions polychromes à trois couleurs avec l’aide d’Alexandre Jaille, « malheureusement au moment où la nouvelle industrie allait battre son plein, un incendie détruisit les ateliers de Quinsac, y compris l’annexe qui avait été construite pour l’impression polychrome. M. Jaille allait faire reconstruire l’établissement lorsqu’il fut enlevé par une maladie brusque. Quinsac alla s’installer à Paris ; mais il eut à peine le temps de monter de nouveaux ateliers ; la mort l’enleva à son tour »[1].
[2] L'Amateur photographe : revue de la photographie dans le monde entier, 1er janvier 1889, p. 366.
[3] Catalogue général officiel de l'exposition universelle de 1889, Tome 2, Paris, Exposition universelle internationale de 1889, p. 9.
[4] Bulletin de la papeterie : journal des papetiers, marchands & fabricants de papiers, graveurs, imprimeurs, relieurs, règleurs, éditeurs d'estampes, marchands & fabricants de registres, fournitures de bureau, bronzes d'art, fantaisies, et tous articles faisant l'objet du commerce de la papeterie, février 1899, p. 37.
[5] Bulletin de la Société photographique du Nord de la France, février 1906, p. 32.
[6] Le Panthéon de l’industrie, 1888, p. 333.
[7] Revue industrielle, 3 janvier 1903, p. 51.
[8] Légende d’un spécimen de carte stéréoscopique pour Le Merveilleux.
[9] Publicité au dos d’une carte spécimen.
[10] L’Oued-Sahel, 19 mars 1903.
[11] Bulletin de la papeterie : journal des papetiers, marchands & fabricants de papiers, graveurs, imprimeurs, relieurs, règleurs, éditeurs d'estampes, marchands & fabricants de registres, fournitures de bureau, bronzes d'art, fantaisies, et tous articles faisant l'objet du commerce de la papeterie, novembre 1905, p. 158.
[12] Archives commerciales de la France, 18 octobre 1905, p. 2.
[13] Ouest-Éclair, 23 octobre 1908.
[14] Le Petit Parisien, 6 mai 1922 ; La Journée Industrielle, 6 mai 1922 ; Le Droit 16 mai 1922.
[15] Archives de Rennes, 1 F 103 - Recensement de 1911 : liste nominative (canton sud-ouest : ville et banlieue)
[16] Ouest-Éclair, 6 janvier 1911.
[17] Ouest-Éclair, 6 janvier 1911.
[18] Ouest-Éclair, 23 octobre 1910.
[19] Ouest-Éclair, 11 juillet 1913.
[20] Ouest-Éclair, 17 octobre 1913.
[21] Spécialisée dans la réparation d’horlogerie, tenue par Gustave Marie Graptin (Rennes, 10 juin 1876 – 2 mai 1949) et son épouse Léontine Marie Cotto (Plélan-le-Grand, 12 juillet 1877 – Argentré-du-Plessis, 4 avril 1958.
[22] Ouest-Éclair, 22 août 1918.
[23] Ouest-Éclair, 25 septembre 1913.
[24] Le Nouvelliste de Bretagne, 8 mars 1919.
[25] Ouest-Éclair, 11 mai 1909.
[26] Ouest-Éclair, 12 avril 1936.
[27] Ouest-Éclair,12 décembre 1939.